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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs du Li2D (SPI/DMTS, Marcoule) proposent une méthode innovante de protéotypage par spectrométrie de masse en tandem pour l’identification universelle de virus pathogènes, ne nécessitant pas de connaissance préalable de la composition de l'échantillon. Un pas vers un meilleur diagnostic des infections virales.
Des chercheurs du DMTS et du SHFJ ont réalisé une analyse multiplexée de cellules et tissus tumoraux, basée sur l’utilisation d’anticorps thérapeutiques clivables, porteurs d’étiquettes de masse, pour l’identification et la quantification de biomarqueurs cancéreux. Une preuve de concept qui démontre un fort potentiel de cette approche d’immunoprofilage tumoral
Une collaboration dirigée par le LERI (SPI/DMTS) a mis au point un dispositif de microfluidique en gouttes pour tester rapidement et efficacement la susceptibilité à la colistine, un antibiotique pour lequel des phénomènes de résistance bactérienne ont été observés. L’Intelligence artificielle complète la méthode pour faciliter l’étape d’analyse des images et augmenter la sensibilité du test.
Des résultats obtenus par une équipe du SPI, en collaboration avec CERES Brain Therapeutics et l’Université de Sharjah (Emirats arabes unis), indique que le niveau de méthylation de l’ADN pourrait constituer un biomarqueur intéressant de l’efficacité thérapeutique d’un traitement potentiel du déficit en transporteur de la créatine lié à l’X.
Le 15 avril 2024, le PEPR biothérapies et bioproductions de thérapies innovantes (BBTI), copiloté par le CEA et l’Inserm, a lancé son premier appel à projets. Financé à hauteur de 13 millions d’euros, il s’adresse à toutes les équipes françaises de recherche académiques intéressées par ce domaine de recherche. Date limite de candidature : 5 septembre 2024.
Des chercheurs du LIAA (SPI/DMTS) montrent que l’exposition pré- et périnatale de souris au dioxyde de titane augmente le risque de survenue d’une allergie alimentaire, particulièrement chez les mâles.
Une étude collaborative entre le SPI et une équipe de l’Hôpital Louis Mourier démontre l’apport de la chromatographie en phase liquide couplée à la spectrométrie de masse pour répondre aux besoins analytiques quotidiens d'un laboratoire clinique. Application à la quantification rapide de biomarqueurs des porphyries hépatiques aiguës.
Le PEPR Biothérapies et Bioproduction de Thérapies Innovantes, dont le pilotage scientifique est confié à l’Inserm et au CEA, fait partie de la stratégie nationale d’accélération du plan Innovation Santé 2030 lancé en 2021 par le Gouvernement. Le 7 février, ce dernier a fait un premier bilan des actions entreprises pour faire de la France un leader dans le domaine.
Le 10 février, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme ProGénoMix, hébergée au Li2D (DMTS/SPI, CEA Marcoule), qui a rejoint en 2023 l’Infrastructure Nationale en Biologie Santé ProFi, spécialisée en protéomique.
Des chercheurs du SPI proposent une méthode innovante de multiplexage pour l’identification rapide de plusieurs isolats microbiens en une seule analyse de spectrométrie de masse. Une approche qui ouvre des perspectives d’identification à grande échelle des microorganismes issus de programmes de culturomique.
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Une équipe de NeuroSpin en collaboration avec Multiwave Technologies a conçu et développé une antenne de réception pour l’IRM Iseult 11,7 T ciblant uniquement les lobes temporaux, une région d’intérêt pour les neuroscientifiques.
Des chercheurs du SCBM présentent une solution innovante de marquage par échange isotopique de l’azote des dérivés de la pyridine, un hétérocycle aromatique très représenté dans l’agro-industrie et l’industrie pharmaceutique.
Le magazine du Conseil départemental de l'Essonne revient sur les premières images de cerveau acquises sur le scanner IRM Iseult à 11,7 T de NeuroSpin.
Des chercheurs du LERI (SPI/DMTS), en collaboration avec NG Biotech, ont développé un test-bandelette de détection de Candida auris, un champignon à l’origine d’infections nosocomiales de plus en plus fréquentes. Leurs premiers résultats sur des souches isolées indiquent d’excellentes performances du dispositif.
Le 21 septembre, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme Iseult de NeuroSpin, revenant sur une première mondiale chez l’homme dévoilée à la presse par le CEA le 2 avril 2024 : « le cerveau dévoilé comme jamais grâce à l’IRM le plus puissant au monde ».
Une équipe du SIMoS (DMTS), en collaboration avec Smartox Biotechnology et l’Institut du Thorax, identifie un sous-type de canaux sodium, exprimé dans les neurones sensoriels du ganglion spinal, comme cible impliquée dans l’action de la crotalphine, un peptide analgésique issu du venin de crotale.
Focus du département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay sur les plateformes de marquage isotopique du SCBM et de beta-imagerie du SIMoS, dans le cadre d’une étude longitudinale collaborative qui a suivi la biodistribution de feuillets de graphène marqués au carbone 14 pendant un an chez la souris.
Le 10 janvier, l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it dédié aux "Sciences de la Vie" un focus sur la plateforme de mesures d'interactions macromoléculaires (PIM) qui va s'équiper d'un nouvel instrument d'étude grâce à financement SESAME de la Région Île de France.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.