Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs du SIMoS, du SPI (DMTS) et de BioMaps (SHFJ) rapportent le développement d’une nouvelle molécule, MQ232, dérivée de la mambaquarétine. Antagoniste spécifique du récepteur V2 de la vasopressine, MQ232 s’avère être un candidat-médicament prometteur pour la prise en charges de pathologies rénales.
Une équipe du LI-MS (SPI/DMTS) a mis au point une méthode de détection de la ricine combinant l’enrichissement des échantillons grâce à l’affinité de la ricine pour une glycoprotéine et la spectrométrie de masse à haute résolution.
Des chercheurs du Li2D (SPI/DMTS, Marcoule) proposent une méthode innovante de protéotypage par spectrométrie de masse en tandem pour l’identification universelle de virus pathogènes, ne nécessitant pas de connaissance préalable de la composition de l'échantillon. Un pas vers un meilleur diagnostic des infections virales.
Des chercheurs du DMTS et du SHFJ ont réalisé une analyse multiplexée de cellules et tissus tumoraux, basée sur l’utilisation d’anticorps thérapeutiques clivables, porteurs d’étiquettes de masse, pour l’identification et la quantification de biomarqueurs cancéreux. Une preuve de concept qui démontre un fort potentiel de cette approche d’immunoprofilage tumoral
Une collaboration dirigée par le LERI (SPI/DMTS) a mis au point un dispositif de microfluidique en gouttes pour tester rapidement et efficacement la susceptibilité à la colistine, un antibiotique pour lequel des phénomènes de résistance bactérienne ont été observés. L’Intelligence artificielle complète la méthode pour faciliter l’étape d’analyse des images et augmenter la sensibilité du test.
Des résultats obtenus par une équipe du SPI, en collaboration avec CERES Brain Therapeutics et l’Université de Sharjah (Emirats arabes unis), indique que le niveau de méthylation de l’ADN pourrait constituer un biomarqueur intéressant de l’efficacité thérapeutique d’un traitement potentiel du déficit en transporteur de la créatine lié à l’X.
Le 15 avril 2024, le PEPR biothérapies et bioproductions de thérapies innovantes (BBTI), copiloté par le CEA et l’Inserm, a lancé son premier appel à projets. Financé à hauteur de 13 millions d’euros, il s’adresse à toutes les équipes françaises de recherche académiques intéressées par ce domaine de recherche. Date limite de candidature : 5 septembre 2024.
Des chercheurs du LIAA (SPI/DMTS) montrent que l’exposition pré- et périnatale de souris au dioxyde de titane augmente le risque de survenue d’une allergie alimentaire, particulièrement chez les mâles.
Une étude collaborative entre le SPI et une équipe de l’Hôpital Louis Mourier démontre l’apport de la chromatographie en phase liquide couplée à la spectrométrie de masse pour répondre aux besoins analytiques quotidiens d'un laboratoire clinique. Application à la quantification rapide de biomarqueurs des porphyries hépatiques aiguës.
Le PEPR Biothérapies et Bioproduction de Thérapies Innovantes, dont le pilotage scientifique est confié à l’Inserm et au CEA, fait partie de la stratégie nationale d’accélération du plan Innovation Santé 2030 lancé en 2021 par le Gouvernement. Le 7 février, ce dernier a fait un premier bilan des actions entreprises pour faire de la France un leader dans le domaine.
Haut de page
Une étape décisive pour transformer la compréhension des vulnérabilités neuro-développementales, améliorer la prévention et faciliter les apprentissages avec le lancement officiel ce 19 mars de l'Institut Robert Debré du Cerveau et de l'Enfant.
L’édition 2025 de la semaine du cerveau à Saclay du 10 au 14 mars a suscité un vif intérêt, totalisant près de 500 visiteurs pour des journées riches en découvertes et en partage. L’élan impulsé en 2024 avec l'organisation conjointe Joliot/NeuroSpin et l’institut NeuroPSI s’est confirmé cette année.
En janvier, le laboratoire BioMaps (SHFJ) a accueilli un nouvel imageur IRM 0,55 T, le MAGNETOM Free.Max. Avec cet imageur, BioMaps se dote d’un des tous premiers systèmes pour l’IRM clinique bas-champ qui permet d’appréhender des questions spécifiques.
En amont de la conférence qu’ils donneront lundi sur la chaine Youtube du CEA, Benoit Larrat (ex NeuroSpin et CEO de TheraSonic) et Nicolas Tournier (SHFJ) ont été interviewés par Le Figaro.
La tenue de l’événement Paris-Saclay Summit en février a suscité l’intérêt du Point pour Iseult, notre IRM hors norme, et les recherches menées à NeuroSpin.
Une étude comparative menée par des chercheurs de l’UMR BAOBAB/NeuroSpin en collaboration avec le LTCI (Télécom Paris) explique pourquoi l’apprentissage profond est plus performant que l’apprentissage automatique standard en neuroimagerie et souligne le potentiel de l’apprentissage par transfert.
Une équipe de l'I2BC propose une expérience de pensée -le problème d'échecs Next Generation Sequencing- qui considère les données de séquençage comme une image superposée de plusieurs parties d'échecs indépendantes. Une approche plus réaliste de la dynamique des processus cellulaires au sein de chaque cellule qui révèle les limites des approches NGS d’analyse temporelle.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.