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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs du SIMoS et du SPI (DMTS) montrent que l’ingénierie moléculaire d’anticorps de lama, capables de neutraliser SARS-CoV-1, permet d’obtenir des anticorps optimisés avec des affinités très élevées pour SARS-CoV-2 et ses variants, les responsables de l’épidémie de Covid-19.
Des chercheurs du LERI ont développé avec l'AP-HP deux tests immunologiques rapides et peu coûteux de détection de l'antibiorésistance. Nouveauté : les deux tests repèrent l'activité des enzymes bactériennes hydrolysant les céphalosporines à spectre étendu.
Le 1er juillet, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un premier focus sur la plateforme TechMab du DMTS, une nouvelle plateforme labélisée IBiSA en 2021, qui offre un ensemble unique et intégré de technologies dédiées au développement d'anticorps pour le diagnostic, la détection et la thérapie.
Variant de Creutzfeldt-Jacob, Ebola, COVID-19… et maintenant la variole du singe : 2 laboratoires du Service de Pharmacologie et Immuno-analyse du CEA-Joliot font preuve d’une grande réactivité pour mettre au point des tests de détection rapide. Retour sur une série de succès
Mercredi 15 juin, Thierry Lhermitte, parrain de la FRM, est venu sur le centre CEA de Paris-Saclay pour rencontrer Karine Adel-Patient (LI2A, SPI/DMTS) et son équipe et voir concrètement la mise en œuvre du projet PeriContALL, financé par la FRM. L’acteur reviendra sur sa visite et détaillera le projet dans l’émission « Grand bien vous fasse » de France Inter programmée le 27 juin.
Le LI2D s’est récemment associé à la société Phylogene (Nîmes), au travers du projet DeepMicro qui vise à développer de nouvelles techniques d’analyses, plus puissantes. L’acquisition d’un spectromètre de masse à très haute résolution, grâce au soutien financier de la Région Occitanie, constitue une étape décisive dans la mise en œuvre du projet. Le CEA et Phylogene ont publié un communiqué de presse le 10 mai.
Une équipe du SPI (DMTS, Marcoule) a utilisé la spectrométrie de masse pour analyser le degré d’altération du microbiote intestinal de patients Covid-19 et pour rechercher des signatures de l’infection intestinale par le virus SARS-CoV-2. La dysbiose observée chez ces patients pourrait être un indicateur du stade et de l'importance de l'infection.
Le logiciel ptairMS, développé dans le cadre d’une collaboration menée par le CEA-Joliot, permet le traitement et l’analyse des données de spectrométrie de masse par transfert de proton, méthode idéale pour l’étude en temps réel des composés organiques volatils (COVs) présents dans l’air expiré.
Des chercheurs du Laboratoire d’immuno-allergie alimentaire (DMTS) montrent que la voie initiale de sensibilisation à un allergène alimentaire (orale, respiratoire, cutanée) influence directement la nature des réponses immunitaires dans plusieurs sites de l’organisme.
Un consortium de chercheurs, piloté par le SPI/DMTS, présente ProMetIS, une étude pilote pour le phénotypage approfondi de lignées murines par combinaison d’approches protéomiques et métabolomiques. Une avancée significative pour la caractérisation fonctionnelle des gènes et le développement d’approches d’intégration bioinformatiques.
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Le magazine du Conseil départemental de l'Essonne revient sur les premières images de cerveau acquises sur le scanner IRM Iseult à 11,7 T de NeuroSpin.
Des chercheurs du LERI (SPI/DMTS), en collaboration avec NG Biotech, ont développé un test-bandelette de détection de Candida auris, un champignon à l’origine d’infections nosocomiales de plus en plus fréquentes. Leurs premiers résultats sur des souches isolées indiquent d’excellentes performances du dispositif.
Le 21 septembre, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme Iseult de NeuroSpin, revenant sur une première mondiale chez l’homme dévoilée à la presse par le CEA le 2 avril 2024 : « le cerveau dévoilé comme jamais grâce à l’IRM le plus puissant au monde ».
Une équipe du SIMoS (DMTS), en collaboration avec Smartox Biotechnology et l’Institut du Thorax, identifie un sous-type de canaux sodium, exprimé dans les neurones sensoriels du ganglion spinal, comme cible impliquée dans l’action de la crotalphine, un peptide analgésique issu du venin de crotale.
Focus du département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay sur les plateformes de marquage isotopique du SCBM et de beta-imagerie du SIMoS, dans le cadre d’une étude longitudinale collaborative qui a suivi la biodistribution de feuillets de graphène marqués au carbone 14 pendant un an chez la souris.
Des chercheurs du DMTS et du SHFJ ont réalisé une analyse multiplexée de cellules et tissus tumoraux, basée sur l’utilisation d’anticorps thérapeutiques clivables, porteurs d’étiquettes de masse, pour l’identification et la quantification de biomarqueurs cancéreux. Une preuve de concept qui démontre un fort potentiel de cette approche d’immunoprofilage tumoral
Le 10 janvier, l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it dédié aux "Sciences de la Vie" un focus sur la plateforme de mesures d'interactions macromoléculaires (PIM) qui va s'équiper d'un nouvel instrument d'étude grâce à financement SESAME de la Région Île de France.
Jeune start-up essaimée du CEA, Detera Therapeutics développe un candidat médicament pour traiter une pathologie rénale rare et sévère, la glomérulonéphrite à croissants. Fruit d’une innovation thérapeutique du CEA-Joliot avec l’Inserm, elle entre en phase de développement réglementaire préclinique.
Avec ce nouveau focus, l'Université Paris-Saclay met en lumière une méthode inédite pour l’incorporation multi-site d’isotopes de l’hydrogène dans des molécules complexes. Cette avancée, obtenue dans le cadre d’une collaboration internationale, devrait faciliter l'accès à des molécules à haute valeur ajoutée.
L’institut Joliot soutient la montée en compétence du CoE NOMATEN en organisant régulièrement des formations à destination de ses collaborateurs. Les deux dernières en date, organisées par le VTT et l’institut Joliot, ont eu lieu en Finlande, à Espoo, sur la plateforme d'essai Array in Well du VTT, et à Oulu, sur les approches en microfluidique
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.