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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Dans une étude menée par une équipe de l’hôpital Marie Lannelongue, des chercheurs du SPI établissent une différence entre les profils métabolomiques de greffons cardiaques prélevés sur des porcs en état de mort encéphalique ou morts après arrêt circulatoire contrôlé. Ces travaux contribuent à l’exploration et la validation de l’utilisation de cœurs prélevés chez des personnes décédées après arrêt circulatoire contrôlé comme nouvelle source de greffons.
Cette année, l’institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot célèbre la science en vidéo. Dans une série de six épisodes, les chercheurs de l’institut vous présentent leurs activités en matière d’innovation thérapeutique et diagnostique.
Des chercheurs de BioMaps et du SPI ont étudié la pharmacocinétique d’un nouvel immuno-radioligand ciblant le récepteur de l’endothéline A, particulièrement surexprimé dans le glioblastome. L’approche d’imagerie immunoTEP mise en œuvre dans cette étude chez un modèle préclinique conforte le potentiel théranostique de cet anticorps.
Des chercheurs du SPI/DMTS ont identifié par spectrométrie de masse des biomarqueurs liés au trouble du déficit en transporteur de la créatine (CTD) en utilisant 2 modèles originaux: des souris présentant les caractéristiques cliniques de sujets atteints de CTD et des organoïdes cérébraux dérivés de cellules de patients-CTD
Annonce du président de la République le 16 mai, dans le cadre du plan Innovation santé 2030 dont l'objectif général est de renforcer la recherche d'excellence et réduire le clivage entre recherche et soins : 12 nouveaux IHU, 4 bioclusters et une enveloppe supplémentaires pour les INBS. Des moyens d'action supplémentaires pour l'institut.
Une équipe du Li2D a utilisé la spectrométrie de masse en tandem pour identifier les micro-organismes présents dans des échantillons d’expectoration de patients atteints de mucoviscidose. Une approche prometteuse de protéotypage qui apporte une vue élargie et non biaisée du microbiote et pourrait être complémentaire de la surveillance microbiologique des patients.
Objectif de ce projet : renforcer la préparation de l'Union européenne face aux menaces nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques (risque NRBC). Parmi les instituts impliqués : le CEA-Jacob et le CEA-Joliot.
Des chercheurs de l'Iramis et de l'institut Joliot ont développé une nouvelle version de leur biopuce à capteurs magnétiques (avec deux séries de capteurs GMR), la rendant plus sensible et plus spécifique.
Un consortium de chercheurs, parmi lesquels les spécialistes de l’analyse métabolomique du SPI/DMTS, présente PeakForest, une base de données de spectres RMN et de masse qui fournit des services de stockage et d'annotation de spectres de composés de référence ainsi que de profils métaboliques de matrices biologiques. Un outil ouvert pour répondre aux besoins évolutifs de la discipline.
Une équipe du Li2D a rendu public le profil peptidomique du virus responsable de la variole du singe, qu’elle a établi grâce à la spectrométrie de masse en tandem.
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Une équipe de NeuroSpin en collaboration avec Multiwave Technologies a conçu et développé une antenne de réception pour l’IRM Iseult 11,7 T ciblant uniquement les lobes temporaux, une région d’intérêt pour les neuroscientifiques.
Des chercheurs du Li2D (SPI/DMTS, Marcoule) proposent une méthode innovante de protéotypage par spectrométrie de masse en tandem pour l’identification universelle de virus pathogènes, ne nécessitant pas de connaissance préalable de la composition de l'échantillon. Un pas vers un meilleur diagnostic des infections virales.
Des chercheurs du SCBM présentent une solution innovante de marquage par échange isotopique de l’azote des dérivés de la pyridine, un hétérocycle aromatique très représenté dans l’agro-industrie et l’industrie pharmaceutique.
Le magazine du Conseil départemental de l'Essonne revient sur les premières images de cerveau acquises sur le scanner IRM Iseult à 11,7 T de NeuroSpin.
Des chercheurs du LERI (SPI/DMTS), en collaboration avec NG Biotech, ont développé un test-bandelette de détection de Candida auris, un champignon à l’origine d’infections nosocomiales de plus en plus fréquentes. Leurs premiers résultats sur des souches isolées indiquent d’excellentes performances du dispositif.
Le 21 septembre, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme Iseult de NeuroSpin, revenant sur une première mondiale chez l’homme dévoilée à la presse par le CEA le 2 avril 2024 : « le cerveau dévoilé comme jamais grâce à l’IRM le plus puissant au monde ».
Une équipe du SIMoS (DMTS), en collaboration avec Smartox Biotechnology et l’Institut du Thorax, identifie un sous-type de canaux sodium, exprimé dans les neurones sensoriels du ganglion spinal, comme cible impliquée dans l’action de la crotalphine, un peptide analgésique issu du venin de crotale.
Focus du département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay sur les plateformes de marquage isotopique du SCBM et de beta-imagerie du SIMoS, dans le cadre d’une étude longitudinale collaborative qui a suivi la biodistribution de feuillets de graphène marqués au carbone 14 pendant un an chez la souris.
Des chercheurs du DMTS et du SHFJ ont réalisé une analyse multiplexée de cellules et tissus tumoraux, basée sur l’utilisation d’anticorps thérapeutiques clivables, porteurs d’étiquettes de masse, pour l’identification et la quantification de biomarqueurs cancéreux. Une preuve de concept qui démontre un fort potentiel de cette approche d’immunoprofilage tumoral
Le 10 janvier, l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it dédié aux "Sciences de la Vie" un focus sur la plateforme de mesures d'interactions macromoléculaires (PIM) qui va s'équiper d'un nouvel instrument d'étude grâce à financement SESAME de la Région Île de France.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.