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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Le 1er juillet, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un premier focus sur la plateforme TechMab du DMTS, une nouvelle plateforme labélisée IBiSA en 2021, qui offre un ensemble unique et intégré de technologies dédiées au développement d'anticorps pour le diagnostic, la détection et la thérapie.
Variant de Creutzfeldt-Jacob, Ebola, COVID-19… et maintenant la variole du singe : 2 laboratoires du Service de Pharmacologie et Immuno-analyse du CEA-Joliot font preuve d’une grande réactivité pour mettre au point des tests de détection rapide. Retour sur une série de succès
Mercredi 15 juin, Thierry Lhermitte, parrain de la FRM, est venu sur le centre CEA de Paris-Saclay pour rencontrer Karine Adel-Patient (LI2A, SPI/DMTS) et son équipe et voir concrètement la mise en œuvre du projet PeriContALL, financé par la FRM. L’acteur reviendra sur sa visite et détaillera le projet dans l’émission « Grand bien vous fasse » de France Inter programmée le 27 juin.
Le LI2D s’est récemment associé à la société Phylogene (Nîmes), au travers du projet DeepMicro qui vise à développer de nouvelles techniques d’analyses, plus puissantes. L’acquisition d’un spectromètre de masse à très haute résolution, grâce au soutien financier de la Région Occitanie, constitue une étape décisive dans la mise en œuvre du projet. Le CEA et Phylogene ont publié un communiqué de presse le 10 mai.
Une équipe du SPI (DMTS, Marcoule) a utilisé la spectrométrie de masse pour analyser le degré d’altération du microbiote intestinal de patients Covid-19 et pour rechercher des signatures de l’infection intestinale par le virus SARS-CoV-2. La dysbiose observée chez ces patients pourrait être un indicateur du stade et de l'importance de l'infection.
Le logiciel ptairMS, développé dans le cadre d’une collaboration menée par le CEA-Joliot, permet le traitement et l’analyse des données de spectrométrie de masse par transfert de proton, méthode idéale pour l’étude en temps réel des composés organiques volatils (COVs) présents dans l’air expiré.
Des chercheurs du Laboratoire d’immuno-allergie alimentaire (DMTS) montrent que la voie initiale de sensibilisation à un allergène alimentaire (orale, respiratoire, cutanée) influence directement la nature des réponses immunitaires dans plusieurs sites de l’organisme.
Un consortium de chercheurs, piloté par le SPI/DMTS, présente ProMetIS, une étude pilote pour le phénotypage approfondi de lignées murines par combinaison d’approches protéomiques et métabolomiques. Une avancée significative pour la caractérisation fonctionnelle des gènes et le développement d’approches d’intégration bioinformatiques.
Deux projets impliquant le DMTS du CEA-Joliot ont été retenus par la Bpifrance dans le cadre de la stratégie nationale d’accélération « Maladies Infectieuses émergentes (MIE) et Menaces Nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques (MN) » du PIA4 et France Relance.
La métaprotéomique fournit des instantanés précieux de l’état fonctionnel des microbiotes. Mais les protocoles employés sont encore très divers et les résultats pas toujours facilement comparables. Les acteurs de la discipline, dont le LI2D (Marcoule), s’organisent pour pouvoir rendre la technique encore plus puissante.
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Une nouvelle ère s’ouvre dans l’exploration du cerveau en développement. Pour la première fois en France, des images du cerveau d’un enfant de 6 ans ont été obtenues grâce à une IRM à 7 teslas. Cette avancée inédite, rendue possible par une équipe de scientifiques au CEA, ouvre de nouvelles perspectives pour la recherche sur les troubles du neurodéveloppement et les maladies du cerveau de l’enfant.
Une équipe du laboratoire BioMaps, en collaboration avec l’Institut Galien Paris-Saclay a mis au point une stratégie innovante associant une prodrogue polymère et l'imagerie par tomographie par émission de positons (TEP) pour améliorer l'efficacité de la mertansine, un agent antitumoral puissant mais toxique.
Le 5 juin, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme d’imagerie préclinique de BioMaps, qui s’est dotée d’un imageur hybride TEP/TDM afin de renforcer les capacités d’analyse de la plateforme, ce nouvel imageur permettant de réaliser des acquisitions simultanées sur plusieurs rongeurs.
Des chercheurs du SPI (DMTS) et du Women & Infants Hospital de Providence posent les bases moléculaires de la neuroprotection d’un dérivé purique chez un modèle préclinique d’encéphalopathie hypoxique-ischémique néonatale (EHI). Les résultats sont en faveur du développement de ce candidat-médicament pour traiter l'EHI chez les nouveau-nés.
Fin mai, la Fondation Paralysie Cérébrale, qui finance à hauteur de 1,6 millions d’euros le projet ENSEMBLE, a lancé sur ses réseaux sociaux, une série de capsules vidéo présentant le projet. Jean-François Mangin, co-coordinateur du projet européen, Jessica Dubois, Lucie Hertz-Pannier, et deux doctorants, Laurie Devisscher et Théo Delmaire, qui participent au projet, y sont interviewés.
Des chercheurs du SHFJ, de NeuroSpin et du GHU Paris Psychiatrie & Neurosciences mettent en évidence des différences dans les altérations des faisceaux de substance blanche entre des patients diagnostiqués Alzheimer et d’autres vraisemblablement atteints de la pathologie LATE.
Une équipe de l’I2BC, en collaboration avec le NIMBE (CEA-Iramis), dévoile la nature des interactions de l’alpha-synucléine humaine avec des nanoplastiques de polyéthylène, à l’aide de simulations de dynamique moléculaire et de méthodes expérimentales.
Une collaboration impliquant en particulier des chercheurs du CEA-BIAM et du CEA-JOLIOT vient de de démontrer les capacités de dépollution d’une cyanobactérie, Gloeomargarita lithophora capable de capturer le strontium-90, un radionucléide présent dans les effluents des centrales. Cette découverte ouvre la voie vers une bioremédiation très efficace et respectueuse de l’environnement.
L’équipe METRIC (BAOBAB/NeuroSpin) a mis au point un système de séquences clef en main – PASTEUR – qui devrait faciliter la généralisation de la transmission parallèle en IRM à ultra haut champ. Le package est déjà disséminé sur plus de quarante scanners IRM 7T dans le monde.
Inspiration du vivant pour convertir du CO2, système d’IA pour « déchiffrer » le cerveau, ou mariage entre science attoseconde et intrication quantique : voici quelques-uns des défis portés par « Audace ! », le programme de recherche à risque du CEA inauguré le 6 mars 2025 à la Cité des Sciences et de l’Industrie, à Paris.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.